Chroniques de Vampires
Dracula, Nosfératu, les vampires sont-ils de simples créatures de légendes ? On va vous montrer que non... |
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A travers les cultures, le mythe du vampire diffère et évolue. Un seul point commun, la sexualité et bien souvent les plaisirs interdits.
Les vampires ont toujours été ignorés mais ils sont concernés et victimes de l’épidémie de SIDA qui frappe la planète.
On rapporte des dizaines de cas de vampirisme dans les Balkans entre 1650 et 1750, de la Silésie à l’Ukraine, à la Russie et jusqu’à Dantzig. Des milliers de balles de fusil en argent furent coulées. De nombreux scientifiques européens étudièrent ces régions et ces croyances. Ils furent tous, sans exceptions, choqués et éberlués par ce qui se passait. L’existence des vampires ne faisait, à l’époque, plus aucun doute.
Le comte Dracula, célèbre personnage de la littérature vampirique a bel et bien existé. Il n’était pas comte mais prince. Son véritable nom était le Prince Vlad IV de Valachie, dans l’actuelle Roumanie, entre les Carpathes et le Danube (1430-1477)
Nous reproduirons ci-dessous deux rapports absolument authentiques. Ces rapports sont publiés dans leur intégralité.
Nous sommes en octobre 1929 et depuis février, la ville de Düsseldorf souffre d'un étrange mal. Huit prostitués ont été sauvagement assassinées dans les bas-fonds de la ville. Le cas ressemble à celui de Jack l'Eventreur mais ici les victimes avaient le crâne fracassé à coup de marteau avant de subir d'atroces mutilations.
Erzebeth Bathory, née en 1560, appartenait à l'ordre du Dragon.
Nous avons trouvé des cas de vampirisme qui sortent complètement des croyances et des critères du vampirisme tel que nous le connaissons. Dans les cas ci-dessous, pas de mort-vivant, pas de morsure au cou mais une absorption de l’énergie vitale !
“Il n’y a pas de fumée sans feu.”. Ce célèbre proverbe, s’accommode bien avec les vampires.
La protection contre les vampires diffère selon les pays et les cultures. Nos traditions judéo-chrétienne et nos influences culturelles nous poussent à croire que les vampires ont peur des crucifix ou des gousses d’ail. Il existe cependant des rites de protection bien plus sérieux et qui ont su traverser les temps pour continuer à exister de nos jours.
Exclusivité Hist&Myst par notre envoyé spécial Maxime Alard
Paris, 2 décembre 2014, 6:45
Le soleil se levait lentement sur la capitale quand le téléphone me fit sursauter. Qui pouvait donc m'appeler à cette heure matinale ?