Histoires et Mysteres, le site de l'etrange Ecoute ce qui se raconte loin de ton pays...

 

Le Dodo

 

Le nom de cet oiseau pourrait faire croire à un canular. Le Dodo a bel et bien existé sur l’île Maurice et sur l’île de la Réunion où il a été découvert vers 1600 et a complètement disparu il y a 80 ans.
Beaucoup de ces oiseaux ont été mangés par les navigateurs hollandais qui les ont découverts mais la cause première de leur disparition fut la destruction de la forêt qui les abritait et les nourrissait. Les animaux importés par les marins, tels que les chats ou les rats, détruisirent les nids restants. Ces oiseaux ne volaient pas, leurs ailes s’étant atrophiées avec l’évolution de l’espèce, n’étant d’aucune utilité sur des îles où la nourriture était au sol et les prédateurs absents. Le Dodo est un exemple sur lequel l’Homme doit se baser pour constater et prévenir sa mauvais influence sur le fragile équilibre écologique de la planète.

 


Le cœlacanthe, Jurassic Park, pour de vrai

Le cœlacanthe (Latimeria chalumnae) ou "vieux quadrupède", l'ancêtre des vertébrés terrestres, est bien connu grâce à un fossile remontant de 75 à 400 millions d'années. On croyait l'espèce éteinte lorsque le 22 décembre 1938 le capitaine Hendrick Goosen captura dans les filets de son chalutier, la Nerine, un cœlacanthe au large des côtes d'Afrique du Sud, près de l'embouchure de la rivière Chalumna à 70 mètres de fond. L’animal mesurait 1,50 m et pesait 60 kg et était de couleur bleuâtre. De longues recherches ont permis, en 1952, d‘en capturer un deuxième et de découvrir son habitat: l'archipel des comores. En 1975, on découvrait que le cœlacanthe est ovovivipare lorsqu'on a capturé une femelle de 1,5 m portant en gestation 5 jeunes ressemblant parfaitement à l'adulte mais ne mesurant que 30 cm. Parmi les spécimens pris jusqu'à présent, le plus lourd pesait 95 kg et le plus long mesurait 1,8 m. Depuis, 200 spécimens ont été capturés à plus de 100 mètres de profondeur.

  


Les Troglodytes du Bugarach

Le Pech Bugarach est une montagne de l’Aude, situé à quelques kilomètres du célèbre village de Rennes-le-Château. Ce pic est connu pour les nombreux phénomènes lumineux que l’on attribue à des ovnis. Une légende fait état de farfadet vivant dans la montagne. On raconte qu’effectivement, un peuple troglodyte, venant d’une autre galaxie aurait bâti une colonie au cœur du Bugarach.


Les Hommes Lézards

Ces créatures on été aperçues en Caroline du Sud (USA). On les appelle les « Hommes Lézards » en raison de la couleur de leur peau verdâtre, leurs jambes maigres et leurs yeux rouges. Le premier témoignage date de 1988. Christopher Davis, 17 ans, changeait une roue de sa voiture à la sortie du village de Bishopville. Il sentit une présence et en se retournant, il vit avec effroi une créature de plus de deux mètres de haut qui le regardait dans le champ voisin. Christopher, sauta dans sa voiture, s’empressa de verrouiller les portières mais la créature tenta d’ouvrir la porte passager. Le jeune homme réussit à fermer et démarra en trombe au moment où la créature sautait sur le toit du véhicule. Arrivé chez lui, il put constater des traces de griffes qui avaient rayées sa voiture.
A partir de ce jour, d’autres témoignages au sujet des « Hommes Lézards » affluèrent mais aucun ne parlaient d’attaques ou de contacts physiques. Les médias s’intéressèrent à cette affaire, ce qui permit de réunir d’autres témoignages provenant de différentes régions des USA. Ainsi, en 1972, au bord du lac Thetis, en Colombie Britannique, au Canada, Robin Flewellyn et Gordon Pike, apercevaient une monstre bipède de 2 mètres de haut qui rentrait et disparut dans le lac. Quatre jours auparavant, au même endroit, Russel van Nice et Michael Gold voyaient, une créature sortir du lac.
C’est dans l’état de New York qu’en 1977, un naturaliste, Alfred Hulstruck, déclarait qu’une race d’hommes aquatiques vivaient dans les eaux du Southern Tier. Cinq ans auparavant, en mars 1972, deux policiers avaient vu un « homme à tête de grenouille » plongeant dans la Miami River, dans l’Ohio. C’est également dans cette rivière qu’en 1955, un homme d’affaire avaient vu la même chose et en fut profondément choqué.


Le Diable du New Jersey

Le premier témoignage date du 17 janvier 1909, à Bristol (USA) à la frontière du New Jersey. A deux heures du matin, John Mac Owen entendit d’étranges bruits à l’extérieur de sa maison, du côté de la rivière, et décida de se lever. Il regarda par la fenêtre et vit une grande créature ailée qui se tenait sur les berges enneigées. L’homme pensa qu’il s’agissait d’un aigle géant mais quand « l’animal » se retourna pour le regarder fixement, il vit qu’il n’y avait point de bec mais un visage grimaçant. La créature s’envola en poussant un cri strident. Le matin, John se précipita chez le Shérif où il rencontra deux autres témoins : un policier, James Sackville, qui patrouillait cette nuit là et qui ouvrit le feu sur la chose, sans l’atteindre, et un postier, E.W Minster qui, sur le matin, allant travailler, aperçut la créature volant au dessus des toits de la petite ville. Les trois descriptions concordaient sur tous les points. Ces trois personnes ne se connaissant pas, l’affaire devenait sérieuse. Le Shérif découvrit des traces mystérieuses qu’il ne put identifier, dans la neige.
Pendant la semaine qui suivit, le diable du New Jersey semblait être partout en même temps car une multitude de témoignages affluaient de toutes parts. Un vent de panique soufflait dans l’état tout entier. Les fermiers posaient des pièges, les chasseurs étaient aux aguets, des photographes se relayaient 24h sur 24, le chaos commençait à régner. Le 19 janvier, au petit matin, Monsieur et Madame Nelson Evans, de Gloucester City, entendirent des bruits provenant de leur toit. Ils sortirent et découvrirent une créature ailée, d’aspect humanoïde qui… dansait sur le toit. Les Evans étaient terrorisés. La seule initiative qui fut prise vint de madame Evans qui dit « Bouh » en faisant un geste de la main pour chasser le démon qui se retourna, les fixa et s’envola. Monsieur Evans déclara par la suite que cette chose hideuse avait des ailes de 60 centimètres de long, des jambes noires, un long cou, une tête ressemblant à celle d’un chien avec un visage de cheval, de petits bras. Le zoo de Philadelphie, par l’intermédiaire du journal « Philadelphia Record » offrit une prime de 10.000 dollars pour sa capture. Et la chose fut capturée par Norman Jefferies et Jacob Hope. Il s’agissait en fait d’un kangourou qui avait été peint et sur lequel les mystificateurs avaient collés des « ailes » et des griffes. Une fois démasqués, ils reconnurent s’être trompés et qu’il ne s’agissait pas d’un démon mais d’un Vampire Australien. L’anecdote ne dit pas s’ils finirent à l’asile…Il semblerait que le dernier témoignage date du 22 janvier bien qu’en 1951, un enfant déclara avoir vu une créature volante ressemblant, dans sa description aux témoignages de 1909. En 1966, un fermier eut son bétail entièrement massacré et en partie dévoré. Il se rappela l’histoire du « Diable », et ne voulut pas démordre du contraire. Le Diable du New Jersey avait dévoré son troupeau.


Un Brontosaure en Afrique ? Le Mokele Mbembe

Témoignages

« La créature doit se retirer de préférence au sein des cavernes innombrables, creusées sous la surface de l'eau, dans les berges argileuses. Même en plein jour, il lui arrive cependant de grimper sur la rive pour aller y chercher sa nourriture strictement végétale -- trait incompatible avec l'idée selon laquelle il s'agirait d'une légende ! La plante favorite de la bête serait une sorte de liane riveraine à grandes fleurs blanches, qui sécrète un latex capable de fournir du caoutchouc et donne des fruits ressemblant à des pommes. Au bas du Ssômbo, on m'a même montré, à proximité d'un amas de plantes de cette sorte, la prodigieuse trouée que l'animal avait frayée dans l'épais taillis bordant la rivière, afin d'atteindre cette nourriture. L'animal aurait la peau lisse et de couleur gris-brun. Sa taille serait à peu près celle de l'éléphant, celle au moins de l'hippopotame en tout cas. Il semble avoir un long cou flexible et une dent unique, mais très longue, qu'on décrit parfois comme une corne. Quelques-uns parlent aussi d'une très longue queue, aussi puissante que celles des crocodiles. Les pirogues qui s'approchent de la bête seraient attaquées sur-le-champ et renversées, et les occupants en seraient tués, mais non dévorés. » (tiré de Bölsche 1929, Baron von Stein zu Lausnitz, Cameroun Allemand).

« Feu le roi Lewanika, qui s'intéressait vivement à l'étude de la faune de son royaume, le Barotseland, avait souvent entendu ses sujets parler d'un grand reptile aquatique, au corps plus gros que celui d'un éléphant, et qui vivait dans les grands marais à proximité de sa ville. L'année suivante, trois hommes se ruèrent, un jour, très excités, dans sa salle d'audience, et ils racontèrent qu'ils venaient de voir le monstre gisant au bord du marais : à leur vue, il avait battu en retraite en se laissant glisser sur le ventre dans l'eau profonde. Ils dirent que la bête était d'une taille colossale, avec des pattes comme celles d'un lézard géant, et un long cou. Elle était, ajoutèrent-ils, plus haute qu'un homme et possédait une tête de serpent. Lewanika se rendit sur-le-champ à l'endroit indiqué et constata que, sur une grande étendue, les roseaux avaient été aplatis, et que, de là, un large sentier avait été frayé jusqu'au bord du marais : de l'eau ruisselait encore dans la boue remuée peu auparavant. Le roi décrivit la piste produite par le corps du monstre présumé comme "aussi large qu'un grand wagon dont on aurait enlevé les roues. » (tiré de John Millais 1924 Zambie).

Bill Gibbons, un explorateur dans le plus pur style Indiana Jones, débarqua dans la Jungle africaine, persuadé qu’une colonie de brontosaures était toujours vivante. Les autochtones décrivait un animal possédant un corps d’hippopotame, bien que beaucoup plus gros, d’une grande queue et d’un très long cou. Gibbons ne trouva pas l’animal mais constata de nombreuses traces, à ce jour inexpliquées ; empreintes de pas mais également traces du passage d’un animal de taille hors norme allant d’un lac vers un bosquet, certainement pour se nourrir. En montrant des dessins de dinosaures les locaux reconnurent sans hésiter leur Mokele Mbembe. D’autres témoignages émanent des lacs Victoria, Tanganiyka, Albert et Telle.


Des homme de Neandertal en Russie ?

Durant la deuxième guerre mondiale, les troupes allemandes avaient envahi la Russie, et un détachement russe avait fait prisonnier un espion allemand près de Buinaksk, au Daghestan. Le colonel chargé de l’interroger, Vazhgen S. Karapetian, fut d’abord surpris par l’apparence de cet « espion ». Il était nu, petit, entièrement recouvert de poils, sentait très mauvais et poussait des grognements… Le militaire compris de suite qu’il n’était pas en présence d’un allemand mais bien devant un homme venant d’un autre âge. La communication entre les deux hommes était impossible. Le colonel rédigea un rapport et le Néandertalien fut relâché. De nombreuses années plus tard, le colonel, en retraite, tenta de retrouver ce rapport mais tout avait été classé « secret défense » et était inaccessible. Il rencontra le paléontologue Boris Porshnev qui lui raconta l’histoire de Zanya.
Dans les années 1880, une femme étrange, baptisée Zanya, était capturée dans l’ouest du Caucase, dans la région de Abkhazia. Cette femme avait la particularité d’être entièrement recouverte de poils. Elle était forte, vigoureuse. Elle pouvait nager bien que sa façon de nager était unique. Elle était la propriété du Prince Achaba puis fut donnée à un noble, Edgi Genaba. Elle vivait au milieu des paysans tel un animal domestique. Elle fut violée par différents hommes et donna naissance à des enfants, normaux en apparence, sans poils, mais tous dotés d’une force hors norme. Un de ses fils devint même un pianiste de renom. Boris Porshnev tenta de localiser la tombe de Zanya afin de l’exhumer et de pouvoir étudier ses restes. Mais il ne réussit pas à la trouver. Il trouva juste la tombe d’un de ses fils. Il récupéra la crane et l’amena à Moscou pour études à l’université d’état d’anthropologie. Le crane présentait de nombreuses différences comparé à un crane d’homme moderne. Il se rapprocherait des cranes du néolithique.

 

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